Parce que la viande de phoque est très maigre et très riche en fer, il est primordial de ne pas trop la faire cuire – l’apprêter en tataki est selon moi la méthode la plus simple et celle qui met le produit le plus en valeur! Je peux vous dire que les opinions et les habitudes sur le loup-marin ont beaucoup changé . En prenant les photos, trois jeunes garçons d’à peu près 12 ans nous regardaient. On leur en a tout de suite offert un morceau. S’en sont suivis des commentaires des plus positifs : « Heille, c’est bon! » et « C’est vraiment TROP bon »! À vous de juger, maintenant. À vos couteaux!
QUAND LES SAVEURS RENCONTRENT LA CULTURE
Pour mettre en valeur notre tataki, nous avons utilisé un ulu (couteau inuit servant notamment à couper la viande) créé par Claude Bourque affichant une gravure et un os de loup-marin. Cet outil est non seulement magnifique, mais aussi très pratique! Investir dans les artistes d’ici quand on cuisine avec les produits locaux, c’est si gratifiant!
Découvrez les œuvres de Claude Bourque juste ici. Où déplacez-vous à la boutique d’Émerance sur le quai pour vous procurer une de ses œuvres!